jeudi 23 avril 2020

Supériorité biologique de la femme


La femme est l’avenir de l’homme.
 La femme n’est biologiquement en rien inférieure à l’homme. Son espérance de vie est même ,dans nos sociétés occidentales ,de 7 ans supérieur à celle de l’homme.  Récemment  nous avons vu que les victimes du Covid 19  sont à 80 % de sexe masculin.
7 ans de vie en plus ce n’est pas négligeable.  La femme a de plus l’immense privilège de pouvoir donner la vie.
 Sur le plan génétique, l’homme dispose de2 chromosomes sexuels différents X et Y et la femme de deux chromosomes X. Des mutations délétères peuvent survenir au niveau des chromosomes en particulier au niveau des chromosomes X .Ces mutations sont heureusement le plus souvent non dominantes mais récessives si bien que les femmes ont un autre X pour compenser le chromosome déficient ; chez l’homme  au contraire un X avec une mutation délétère pourra s’exprimer. D’autre part le chromosome Y   est fragile  et peut-être victime de mutation délétère. De plus les  les organes sexuels de l’homme sont externes et donc beaucoup plus exposés à la radioactivité et à différentes ondes alors que la femme a l’avantage de posséder des organes génitaux internes .Lors des fausses couches spontanées, le pourcentage de fœtus d’origine masculin est sensiblement supérieur à celui de fœtus  d’origine féminin.  La mortalité néonatale et infantile des garçons est également supérieure à celle des filles.
.Dans aucun domaine, le judaïsme ne considère la femme comme inférieure à l’homme mais sa sphère d’activité diffère de celle qui incombe aux hommes. Elle a à l’évidence moins d’obligations religieuses mais son rôle est plus important encore. La religion est transmise uniquement par la mère ; l’enfant d’un grand rabbin et d’une femme non juive ne sera pas  considéré comme juif   alors que l’enfant d’une femme juive et d’un homme non juif aura toute sa place dans la communauté.  La mère un rôle essentiel dans l’initiation des enfants aux premiers préceptes religieux .La femme allume les bougies du shabbat et c’est-elle qui fait entrer le shabbat dans la maison. Sans femme pas de shabbat. Sans femme pas de cacherout. La femme n’est pas astreinte à la plupart des commandements positifs limités dans le temps à l’exception de ceux qui touchent  le shabbat, la prière, l’obligation de manger de la  Matsa à Pessah  et de se réjouir pendant les fêtes.  Il n’est pas interdit à une femme de porter  un talith, des téphilines et éventuellement d’être appelée à la Torah mais ce n’est en aucune façon une obligation.
.Dans l’épilogue de son livre « Ombre sur l’Hudson », Isaac Bashevis Singer écrit : « mais je me dis alors que du moment que les phylactères attachent le tigre tapi en moi, je n’ai pas le choix et dois les mettre. La Torah est le seul enseignement qui nous serve à museler la bête humaine. Ce même Dieu qui a créé le tigre a également créé la corde et a donné au tigre humain le désir de se ligoter lui-même. Dans ma situation il faut que je me protège. Si un seul   nœud ne se défait, la bête sauvage se libérera d’un bond » L’homme est naturellement plus agressif. Il y a beaucoup plus d’hommes en prison que de femmes. Dans l’histoire tous les grands criminels sont des hommes  et toutes les guerres et leurs massacres ont été une affaire d’hommes. L’homme en général beaucoup moins de sagesse que la femme. Tous ces interdits religieux ,toutes ses obligations religieuses servent aussi à canaliser la violence de l’homme et à  mieux l’insérer dans une communauté.

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