Supériorité biologique de la femme
La femme est l’avenir de l’homme.
La femme n’est
biologiquement en rien inférieure à l’homme. Son espérance de vie est même ,dans
nos sociétés occidentales ,de 7 ans supérieur à celle de l’homme. Récemment
nous avons vu que les victimes du Covid 19 sont à 80 % de sexe masculin.
7 ans de vie en plus ce n’est pas négligeable. La femme a de plus l’immense privilège de
pouvoir donner la vie.
Sur le plan génétique,
l’homme dispose de2 chromosomes sexuels différents X et Y et la femme de deux
chromosomes X. Des mutations délétères peuvent survenir au niveau des
chromosomes en particulier au niveau des chromosomes X .Ces mutations sont
heureusement le plus souvent non dominantes mais récessives si bien que les
femmes ont un autre X pour compenser le chromosome déficient ; chez
l’homme au contraire un X avec une
mutation délétère pourra s’exprimer. D’autre part le chromosome Y est fragile
et peut-être victime de mutation délétère. De plus les les organes sexuels de l’homme sont externes
et donc beaucoup plus exposés à la radioactivité et à différentes ondes alors
que la femme a l’avantage de posséder des organes génitaux internes .Lors
des fausses couches spontanées, le pourcentage de fœtus d’origine masculin est
sensiblement supérieur à celui de fœtus d’origine féminin. La mortalité néonatale et infantile des
garçons est également supérieure à celle des filles.
.Dans aucun domaine, le judaïsme ne considère la femme comme
inférieure à l’homme mais sa sphère d’activité diffère de celle qui incombe aux
hommes. Elle a à l’évidence moins d’obligations religieuses mais son rôle est
plus important encore. La religion est transmise uniquement par la mère ;
l’enfant d’un grand rabbin et d’une femme non juive ne sera pas considéré comme juif alors que l’enfant d’une femme juive et d’un
homme non juif aura toute sa place dans la communauté. La mère un rôle essentiel dans l’initiation
des enfants aux premiers préceptes religieux .La femme allume les bougies du
shabbat et c’est-elle qui fait entrer le shabbat dans la maison. Sans femme pas
de shabbat. Sans femme pas de cacherout. La femme n’est pas astreinte à la
plupart des commandements positifs limités dans le temps à l’exception de ceux qui
touchent le shabbat, la prière,
l’obligation de manger de la Matsa à Pessah
et de se réjouir pendant les fêtes. Il n’est pas interdit à une femme de porter un talith, des téphilines et éventuellement
d’être appelée à la Torah mais ce n’est en aucune façon une obligation.
.Dans l’épilogue de son livre « Ombre sur
l’Hudson », Isaac Bashevis Singer écrit : « mais je me dis alors que
du moment que les phylactères attachent le tigre tapi en moi, je n’ai pas le
choix et dois les mettre. La Torah est le seul enseignement qui nous serve à
museler la bête humaine. Ce même Dieu qui a créé le tigre a également créé la
corde et a donné au tigre humain le désir de se ligoter lui-même. Dans ma
situation il faut que je me protège. Si un seul nœud ne se défait, la bête sauvage se
libérera d’un bond » L’homme est naturellement plus agressif. Il y a beaucoup
plus d’hommes en prison que de femmes. Dans l’histoire tous les grands
criminels sont des hommes et toutes les
guerres et leurs massacres ont été une affaire d’hommes. L’homme en général
beaucoup moins de sagesse que la femme. Tous ces interdits religieux ,toutes
ses obligations religieuses servent aussi à canaliser la violence de l’homme et
à mieux l’insérer dans une communauté.
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